Libérer les blessures du coeur: Pourquoi et comment?

Publié le par Max-Emilien Robichaud

Libérer les blessures du cœur : Pourquoi et comment?

 

Comment ça va aujourd’hui? Bien, répondriez-vous?

 

Votre réponse à cette question usuelle, même banale pourrait certes varier. Elle  pourrait dépendre des différents aspects de votre vie ou de votre  santé : autant physique, émotionnelle que autre mais, aussi selon celui ou celle qui vous la pose. Mais à un proche ou à un intime, que diriez-vous de votre cœur ? Non pas votre cœur physique mais plutôt symbolique, psychique soit vos relations affectives soit selon comment se porte votre cœur. Votre cœur peut certes très bien aller et voilà votre seule réponse. Il pourrait par ailleurs souffrir de ce que vous vivez avec votre amoureux ou amoureuse mais, aussi avec votre famille, vos amis, etc. Peut-être que votre dernière rupture amoureuse ou amicale ou la perte d’un être cher ou enfin votre dernière confrontation vous pèse lourd. Mais le temps, disons-nous arrange bien les choses! Encore faut-il le vérifier ou le valider dans la réalité quotidienne ou dans nos relations. Voici une mise en situation!

 

Une rencontre, une image, un objet, une visite familiale…

 

Imaginons que vous visitiez votre famille, parents, frères et sœurs. Vous pouvez vivre la joie de ces retrouvailles mais vous pouvez aussi éprouver d’autres sentiments plus difficiles, plus négatifs, dirions-nous. Vous pourriez ainsi éprouver toujours ces mêmes frustrations du passé de ne pas être reçu, écouté, reconnu, accepté ou même aimé comme vous le souhaiteriez, peut-être pas en comparaison avec d’autres membres de votre famille. En fait, ces sentiments vous reviennent à chaque visite mais vous les oubliez aux retours et ce, même totalement. Il se peut par ailleurs qu’une simple photo, un objet, une chanson ou même une rencontre fortuite impromptue vous ramène dans ces états envers votre famille ou envers toute autre relation amicale ou amoureuse significative. C’est donc dire, que votre cœur pèse lourd et porte, que vous le vouliez ou le reconnaissiez ou non, ces douleurs, ces souffrances, ces blessures.

 

Douleurs, souffrances et blessures

 

Nous humains naissons, grandissons dans un milieu plus ou moins harmonieux, chaleureux ou nourrissant : famille, école, groupes d’appartenance divers. Certains évènements, relations, comportements, tensions nous marquent plus ou moins, parfois très négativement et pour longtemps. Le décès d’un parent ou d’un frère ou d’une sœur mais aussi le possible abandon ou rejet par la famille ou les amis causent une blessure profonde qui génère douleurs et souffrances. Cette blessure s’imprime dans notre corps, notre cœur et notre esprit et peut certes même être totalement oubliée, occultée mais, elle fait pourtant des ravages et conditionne notre vie et nos relations et ce, â notre insu.

 

Oui, nous pouvons tout à coup ressentir des malaises, des tensions au cœur et divers sensations plutôt désagréables en présence des responsables ou de leurs représentations. Mais, nous ne faisons pas nécessairement le lien avec la blessure ou encore nous pouvons réagir fortement de façon stéréotypée devant des comportements similaires de d’autres personnes. Notre corps, notre cœur, notre psyché réagissent selon une programmation qui peut dater de loin, aussi loin que la naissance, la jeune enfance, l’adolescence. Serions-nous par hasard des êtres conditionnés par notre passé?

 

Les blessures du cœur : abandon, rejet, non reconnaissance, humiliations, maltraitance, trahison 

 

Nous avons tous vécu de ces blessures au cœur, enfant, adolescent et adulte et nous les portons toutes sans exception en nous, que nous le voulions ou non.

 

Ces blessures ont conditionné et influencent encore notre vie et nos rapports aux autres et ce, même à notre insu. Nous pouvons même le voir chez les autres dans leur visage, leur gestuelle, leur posture, en somme leur langage corporel. Elles transparaissent notamment par les yeux, les traits du visage, le ton de la voix, le port de la tête, du moins chez les autres. Pensons à un ami qui nous parle, même à un étranger qui nous aborde et oui aussi à un orateur qui en dévoile plus sur lui-même qu'il ne le voudrait, peut-être particulièrement par son langage non verbal. Ce miroir et ce reflet de nous même ne nous mentent rarement; en fait notre corps ne nous ment jamais, notre cœur non plus par ailleurs. Mais peu importe les stigmates ou les signes extérieurs que portent notre cœur ou des outrages au cœur, il est possible et il importe de s'en occuper désormais, car ils finissent par nous trahir et en fin de compte conditionner notre comportement, même diriger notre vie, surtout sentimentale. 

 

 Une déception amoureuse, une séparation

 

Une déception amoureuse, une séparation peut faire bien mal et d'autant si elles réveillent d'anciennes blessures de rejet, d'abandon, de trahison, d'humiliation ou même de maltraitance par encore guéries et mal cicatrisées. Enfant, nous avons à un moment ou l'autre, vécu de ces expériences parfois même par notre seule déduction alors que la réalité objective était tout autre. Je me souviens de cette résistance perçue chez mon père à me conduire à mon travail étudiant alors que son attitude était davantage due à ses préoccupations de père pourvoyeur en quête de nouveaux contrats, sans plus. Mais il est possible de se libérer de ces entraves, de ces chaines pour alléger son cœur. Aujourd'hui non seulement ma perception a changé, l'évènement s'est transformé à un point tel que je vois plutôt désormais mon père se précipiter pour venir me conduire. En effet, il est possible de guérir une blessure, mais aussi de la transformer et même changer la réalité, car le cerveau ne fait guère la différence entre une image vécue et une autre juxtaposée, proposée et intégrée. 

 

La blessure fondamentale

 

Ces dommages, tensions et contractions suite à divers traumatismes sont appelés ici cuirasses dans notre jargon. Elles se sont installées très tôt, même dans la période utérine notamment suite à une blessure de base, dite fondamentale. Ainsi comme l’animal, le fœtus peut détecter s’il est bienvenu, aimé ou plutôt rejeté par l’un ou les deux parents ou abandonné, lorsqu’orphelin ou simplement laissé pour compte. Cette blessure soit d’abandon, soit de rejet, soit de non reconnaissances, soit de maltraitance ou même d’humiliation est si douloureuse qu’elle pousse l’individu à la fuir, à l’enterrer et à se sur-adapter à la réalité pour survivre, être aimé, ne plus souffrir en construisant un autre moi, un surmoi, une autre personne qui soit plus acceptable pour tous, soit parfois le contraire.

 

Ainsi, un enfant non souhaité qui a déjà enregistré la tristesse ou la colère de la mère enceinte par exemple par accident et son système nerveux, a réagi pour se protéger et survivre à ce traumatisme…désir de mourir, impuissance et désespoir mais finalement il adoptera une cuirasse de protection pour éloigner la douleur de base et éventuellement réagira comme l’animal blessé, soit par la fuite,  soit l’attaque mais aussi pour l’humain ou l’animal domestiqué par l’inhibition de l’action,  l’écrasement, la soumission (1) etc..

 

La naissance pourra être difficile et l’enfant compliqué, voire malade et cherchera désespérément à se faire aimer à tout prix. Se développeront alors progressivement des pensées, croyances limitatives sur lui-même, sur la vie, sur les autres et des comportements conséquents soit de repli, soit de dépendance, soit encore d’agressivité. S’imbriquent ici les projections parentales (2) présentes très tôt sur l’enfant en quête de son identification (3) (construction du moi) qui complexifieront la réalité, le psychisme et les choix et comportements futurs. Adulte, l’individu deviendra d’autant plus étranger à lui-même pour plaire, être accepté, aimé, reconnu autant de sa famille, de son partenaire amoureux,  de son patron que de ses collègues. Ou au contraire il sera plutôt en contre, révolté, rebelle.

 

Le triangle dramatique (4)

 

Traumatisé, sa douleur enfouie dans ses profondeurs, représentée ici comme par un dragon mais par ailleurs oubliée et occultée, la personne ne sait plus ni qui elle est ni ce qui l’a déjà bouleversé mais en subit les conséquences sans le savoir. Le divorce de sa propre nature est une de celles-là. Eloigné de sa blessure de base et de la douleur associée, l’individu survit avec un surmoi dont il s’accommode tant bien que mal. Il crée ainsi un espace vide entre lui et sa douleur et sa nature et tronque son propre processus d’individuation, axant sa quête d’identité plutôt vers l’extérieur que l’intérieur : d’abord une forte identification parentale nécessairement insatisfaisante, une suivante par l’adhérence excessive à divers groupuscules et éventuellement sociale et ce, de façon fixative.

 

Tout son rapport à l’autre est coloré par sa réaction conditionnée à l’évitement de sa douleur première par une projection dans un rôle prédominant soit de victime, soit de persécuteur, soit encore de sauveur; ce qu’on appelle dans le jargon psychologique, le triangle dramatique ou de projection. (4)  Il ne reconnaît alors plus ni ses besoins véritables, ni ses désirs, encore moins ses élans. Ses choix et actions sont fortement conditionnés et s'avèrent contraires à son bien-être autant physique que psychique. Comme un animal blessé mais par ailleurs domestiqué, il réagira à l’autre selon ses perceptions tronquées dégagées à travers son prisme déformant.  Il choisira alors un mode de réaction privilégié soit de soumission, soit d’agression, soit enfin de sauvetage

 

Nous reconnaissons tous de ces gens qui vivent et réagissent dans leur vie soit en victime, soit en persécuteur soit en saveur. Pensons à ce scénario classique du conjoint battant sa conjointe et du frère ou de la belle-sœur intervenant pour sauver cette dernière. Chacun joue son rôle dans cette pièce de théâtre mais peut par moment changer de position l’un avec l’autre et surtout avec d’autres relations. Ainsi la conjointe peut en réaction persécuter ses enfants, le conjoint se soumettre à son patron et la sœur s’en prendre à ce dernier. Mais qui plus est, ce triangle vicieux se joue aussi vis-à-vis soi-même ; ainsi chacun peut agir envers lui-même en se persécutant (allez pas de besoin ni de temps de repos non mérité par ailleurs)  se plaignant (pauvre de moi, je suis toujours maltraité, rejeté) ou encore en se fuyant (jamais satisfait de soi-même, jamais bien, toujours mieux ailleurs).

 

Nos automatismes ou nos schèmes émotionnels (5)

 

Oui nous sommes en fait des êtres conditionnés et d'habitudes et ces habitudes sont devenues nos schèmes émotionnels et réactionnels autant dans notre vie personnelle que professionnelle.

  
Nous avons ainsi appris à conduire le vélo, l'auto et cela nous est désormais facile et automatique. Il en est de même pour tous les gestes familiers quotidiens tels se raser, prendre une douche, se brosser les dents. Une bonne partie de ces opérations nous reste inconsciente; ce qui nous permet d'ailleurs de répéter sans y songer notre trajet quotidien habituel au travail  tout en faisant mille et autres choses. Nous sommes sur le pilote automatique, dirons-nous, tous les jours, sauf, évidemment pour tout nouvel apprentissage. De même toutes nos pensées, émotions sont également conditionnées depuis notre naissance et nous réagissons souvent de façon automatique à des impulsions bien ancrées en nous.

 

L’Éducation contraignante et ses effets 

 

En fait le nouveau-né nait avec des structures sous-jacentes de pulsions manifestées par des états émotionnels naturels; selon ses besoins pulsionnels, il crie, pleure, rit...Mais l'éducation souvent répressive ou conditionnée a changé la donne et instauré tout une gamme de réactions conditionnées qui guident notre vie. Ces charges émotionnelles, soit retenues soit dégagées, se manifestent avec une multitude de pensées ou monologues intérieurs, de souvenirs, d'images, de réactions et de sensations physiques dans des régions privilégiées: le cœur, la gorge, le plexus solaire, le ventre...Les sensations ne passent pas inaperçues mais certaines des premières échappent souvent a notre conscience. Heureusement, il est possible de neutraliser, arrêter ou rediriger le flux de ces pensées ou émotions et réactions ou les transformer pour un mieux-être pour soi et les autres.

 

Oui nous sommes conditionnés mais nous ne sommes pas des prisonniers à perpétuité de nos réactions émotionnelles; nous pouvons changer, nous améliorer, soit cultiver davantage nos bonnes habitudes émotionnelles et transformer les négatives et ainsi développer notre intelligence émotionnelle.  

L'intelligence émotionnelle (6)

 

Nous naissons avec un bagage génétique et émotionnel hérité de nos parents. Nous nous développons dans un milieu familial et social plus ou moins adéquat. Nous avons naturellement pensé utile et naturel de développer nos capacités physiques et intellectuelles depuis longtemps. Comme quoi une bonne santé physique et une bonne dose d'intelligence sont un gage d'un bon avenir. Pourtant nous avons connu des gens bien nantis de ces points de vue rater complètement leur vie; leur mauvaise gestion émotionnelle a ruiné autant leur vie personnelle que professionnelle.  Daniel Goleman, psychologue et journaliste scientifique a causé tout un émoi avec la publication de son livre " L’intelligence émotionnelle (Goleman, 1995a)"autant  parmi ses collègues que dans le grand public.

 

Aujourd'hui son message est bien reçu partout même dans les entreprises; selon lui, il est possible par la conscience et la maîtrise de soi de comprendre, d'utiliser et cultiver ses bonnes aptitudes émotionnelles pour guider ses décisions, interagir adéquatement avec les autres, résoudre les conflits et atteindre ses objectifs personnels et collectifs. Il est donc tout à fait utile et naturel de développer autant ses capacités  physiques, intellectuelles qu'émotionnelles de base. Nous pouvons le faire par une prise de conscience, l’introspection et divers exercices appropriés répétés. Il est possible aussi de changer, de transformer ainsi ses habitudes émotionnelles pour le mieux.  

 

Capacité de changer, se transformer, se guérir (7) -  apprendre à se calmer, se détendre et bien respirer  


Depuis longtemps, très longtemps d'ailleurs, nous avions intuitionné et expérimenté la capacité de changer notre vie: la possibilité de modifier nos modes de penser et d'agir et de réagir, de transformer notre corps, nos émotions, notre vie du tout au tout et emprunter de nouveaux chemins. Il est en effet possible de vivre un mieux-être, une meilleure qualité de vie, de guérir même en fin de compte. Il s'agit de prendre conscience de ce qui va pas, de trouver les moyens de changer et de modifier sa vie en conséquence.  

Cela va de notre vision du monde, de son monde intérieur mais aussi de nos capacités et nos incapacités ou limites autant de notre corps que de notre psyché. 


Plusieurs approches offrent cette possibilité dont celle que je propose Corps-Cœur-Esprit. Les témoignages, les résultats obtenus l'attestent. Par ailleurs les recherches scientifiques le confirment de plus en plus En effet les neuroscientifiques parlent désormais de la plasticité du cerveau et prouvent la capacité de changer nos paradigmes physiques et psychiques Plusieurs expériences cliniques sont concluantes pour induire de nouvelles connexions neuronales avec des conséquentes surprenantes: ex. faire disparaître une douleur à un bras fantôme, amputé, réactiver un bras paralysé, apprendre le langage parlé avec le seul cerveau droit, le gauche étant atrophié  mais aussi de changer son tempérament etc.

 

ll en va de même pour modifier nos pensées, nos émotions, nos états âme notamment en ce qui concerne nos diverses sources de mal-être dans notre vie. Qui plus est, l'imagerie médicale montre maintenant clairement l'évolution et la morphologie changeante des différentes aires du cerveau (7).

  
Plusieurs approches proposent divers éléments pour dégager, mieux vivre et transformer nos émotions négatives notamment. L’Approche Corps-Corps-Esprit une approche psychocorporelle, s'en inspire: soit pour

 

- accueillir sans jugement ses sensations, images, pensées et émotions;

 
- conscientiser ses automatismes mentaux et émotionnels avec leurs conséquences et chercher à les modifier, les transformer; 

 

- focaliser son esprit sur son corps et ses sensations;

 

- utiliser le mouvement, la visualisation et l’imagerie pour dégager les tensions physiques et psychiques;

 

- se remémorer nos meilleurs moments, visualiser un endroit de rêve, un paradis terrestre;  

 

 - choisir de se transformer et prendre les moyens et les habitudes de vie appropriées.

  
Conclusion

 
Le cœur peut être guéri de toute blessure quel qu’elle soit : perte d’un être cher, trahison, séparation, etc. Il faut certes en prendre conscience et prendre la décision de prendre les moyens pour y parvenir. Oui le temps y est pour quelque chose mais généralement il ne suffit pas. Il faut davantage et s’investir dans un processus avec de l’aide, des conseils et des exercices que je privilégie régulièrement. En fin de compte, nous sommes et pouvons devenir notre meilleur thérapeute avec le temps et les outils appropriés. 

 

Max-Emilien Robichaud

Centre Osmose: 5800 St-Denis/Métro Rosemont, Suite 403, Montréal, H2S-3L5146487777/erobichaud@centreosmose.com/www.centresosmose.net/com 


J'accompagne et j'aide les gens sur leur propre chemin du mieux-être physique, psychique et spirituel avec divers outils et approches reconnues.  A cette fin, je suis formateur en plusieurs approches psychocorporelles et praticien notamment en Massothérapie, Reiki, Régression-Intégration mémorielle, Imagerie mentale, Harmonisation énergétique et Méthode de Libération des Cuirasses (MLC©). 

 

Notes

 (1)     Marie Lise Labonté, Le Déclic, Ed de l’Homme, c2003, pp 39-47

 (2) Idem pp 39-78 s’inspirant de Jung. Voir C.C. Jung, Psychologie de l’inconscient, Paris, Le livre de Poche, Références, Georg éditeur, 2001, p 188

 (3) Idem pp 62-65 et Au cœur de notre corps, Se libérer des ses cuirasses, p 73 et sv

 (4) Marie Lise Labonté, Le Déclic,  pp 64-65 Idem pp 27-30. Une des fonctions protectrices du moi avec le refoulement, la projection, le clivage, le déni, l’annulation, la banalisation

 (5) Bennett- Coleman, Tara, L'alchimie des émotions, Éd. Robert Laffont, c 2002, 565 p, pp 348-375

 (6) David Goleman,  L’intelligence émotionnelle: Comment transformer ses émotions en intelligence. Paris: R. Laffont, 421 p.,  L'intelligence émotionnelle au travail, Paris, Village mondial, c2005

Bennett- Coleman, Tara, L'alchimie des émotions, Éd. Robert Laffont, c 2002, 565 p, pp 489-97

(7) On the nature of things, CBC, 04-12-08. Sur la capacité  du cerveau de changer, se transformer, se réorganiser soit par différents exercices physiques ou mentaux...Voir aussi Mario Beauregard et Denyse O'leary, Du cerveau à Dieu, Guy Trédaniel Éditeur, 2008437p, p. 149,  Marie Lise Labonté, Le Déclic, Transformer la douleur qui détruit en douleur qui guérit, Les Ed. de l'Homme, 2003, p.28


Références:

 

- Carl R. Rogers, Liberté pour apprendre, Bordas, Paris, 1984, 264p

 - Reich, Wilhelm, L’analyse caractérielle, Paris, Petite Bibliothèque Payot, 1992 ( dernière édition),

-   Souchard,Ph.-E., Méthode Mézières, Paris, Laloine, 1979

-   Rolf, Ida, Rolfing, New York, Harper and Row, c1978

-   Bertherat, Thérèse, Le corps a ses raisons, Paris, Éditions du Seuil, 1975 - Souchard,Ph.-E., Méthode Mézières, Paris, Laloine, 1979

- Courraud-Bourhis, Hélène, La biomécanique sensorielle. Méthode Danis Bois, Point d’appui, 1999.
-   Max-Émilien Robichaud et Lyne Olivier, La Méthode de Libération des Cuirasses, Le plan global de santé et la MLC© , Une approche corporelle unique, L'approche MLC©  pour mieux gérer son stress,  Articles parus sur Alchymed  en 2008

4 Sally W. Olds  et Diane E. Papalia,  Le développement de la personne,  4e Ed. Études vivantes, 1996, 596p, p 26

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